Saint-Pétersbourg
Saint-Pétersbourg, Russie
Санкт-Петербу́рг
Autrice : Maria Chuprova
Titre : Saint-Pétersbourg, de la périphérie vers le centre ville.
Année : 2020
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Voir aussi : Julia Suvorova, St-Pétersbourg, façade maritime ; l’entre-deux protégé : * (2011)
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Dans les zones industrielles, il n’y a ni touristes ni cafés ni boutiques, on ne rencontre personne qui profite d’une simple pro menade. Les gens traversent ces territoires rapidement et ne s’arrêtent pas dans ces lieux, en attente qu’on leur affecte de nouveaux usages. Ils évitent de marcher dans les rues poussiéreuses et peu accueillantes. Les quartiers résidentiels populaires sont d’un côté de la “ceinture grise” et le centre d’activité économique et touristique de l’autre.
On considère que c’est une zone de transit quotidien où le trafic est important et souvent perturbé. Ces territoires sont très pollués bien qu’il reste très peu d’usines encore actuellement. Toutefois, il existe beaucoup de monuments historiques, de constructions intéressantes du point de vue de l’ingénierie, de bâtiments remarquables enclos et cachés entre les murs des industries, qui sont classés ou qui ont tout simplement une valeur esthétique. En outre, les quartiers résidentiels ont été construits à l’intérieur de la «ceinture grise», et ils se trouvent principalement à proximité du métro et le long des autoroutes. On pourrait dire qu’un tissu urbain vernaculaire de la ville post-industrielle s’est formé ici.
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